Stefano Domenicali assure que l’Afrique reviendra prochainement au calendrier
Le PDG de la Formule 1, a indiqué que l'Afrique était une piste pour les années à venir.
C’est un peu un continent délaissé par le monde de la Formule 1. Depuis 1950 et la création de la discipline, l’Afrique n’a accueilli les monoplaces qu’à 23 reprises, entre Maroc et Afrique du Sud. 2023 n’offrira pas une 24e édition.
Avec la volonté de Liberty Media d’augmenter le nombre de courses à 30 par saison ainsi que les pressions mises par Lewis Hamilton, le continent pourrait être de la partie. Cependant, Kyalami, circuit alimentant nombre de rumeurs, ne serait pas la seule piste car le Maroc a une piste homologuée Grade 2. Quelques travaux d’aménagements seraient donc obligatoires pour obtenir le Grade 1, obligatoire pour arriver en F1.
« Lorsque nous faisons quelque chose de nouveau, nous devons nous assurer que ce soit fait avec les bons partenaires et que les fondamentaux soient stables pour rester [au calendrier] plus longtemps. Ce serait mauvais d’aller [sur un circuit africain] une année et qu’il disparaisse si les conditions ne sont pas correctes », explique l’Italien à Sky Sports.
« Il faut avoir les bons atouts financiers mais aussi que le site soit prêt pour le week-end où nous voulons [organiser le Grand Prix]. La seule chose que je peux dire, c’est qu’après le premier contact avec Kyalami, d’autres endroits en Afrique sont intéressés par la Formule 1. C’est un objectif très clair. L’Afrique reviendra très bientôt au calendrier, espérons-le. »
Le circuit de Kyalami (Afrique du Sud) a reçu la Formule 1 entre 1962 et 1993. Le Maroc a eu sa seule et unique course en 1958 et accueille depuis plusieurs années la Formule E.