Sept pilotes échappent à une pénalité
Avant le départ de la course sprint, sept pilotes ont reçu un message radio de leur équipe. Une action interdite par le règlement. La FIA a toutefois décidé de les blanchir.
Quelques petits mots qui peuvent coûter cher. Après la course sprint qui s’est déroulée ce samedi après-midi, sept pilotes étaient sous enquête pour avoir reçu un message radio de leur équipe : Mick Schumacher, Daniel Ricciardo, George Russell, Esteban Ocon, Sergio Pérez, Lance Stroll et Sebastian Vettel.
Cette liste de pilotes a été informé par leur équipe qu’un tour de formation supplémentaire allait être effectué suite au problème mécanique rencontré par Guanyu Zhou lors de la mise en grille. Or, le règlement indique que les équipes n’ont pas le droit de rentrer en contact avec leur pilote avant le départ.
Après enquête et discussion avec les différentes équipes, les commissaires ont finalement indiqué que les conversations étaient légales. « Les commissaires ont reçu un rapport du directeur de course et ont utilisé une preuve audio. Les commissaires ont rencontré les team managers concernés et ont déterminé que les messages placés sous enquête étaient autorisés », explique un rapport de la FIA.
Cette action n’a donc pas d’incidence sur le classement final de la course sprint. Tous les pilotes conservent leur place et Max Verstappen partira bien depuis la pole position.
En 2020, lors du Grand Prix de Hongrie, Kevin Magnussen et Romain Grosjean avaient écopé de 10 secondes de pénalité pour des faits similaires. La pénalité avait coûté à Haas de précieux points.