Covid-19 : Des futures difficultés pour le GP de France et d’Autriche ?
Des nouvelles mesures liées au coronavirus ont été prise pour les Britanniques se rendant en France et en Autriche.
La plupart des écuries de Formule 1 sont basées sur le sol britannique, berceau du sport automobile. Toutefois, la situation sanitaire liée au coronavirus est instable dans cette zone géographique, particulièrement à cause de la circulation du variant indien. La France a donc instauré de nouvelles mesures pour les voyageurs britanniques, pouvant, par conséquent, complexifié la tenue du Grand Prix de France.
Les mesures prises par la France vis-à-vis des voyageurs britanniques :
La France a annoncé ce mercredi 26 mai, la mise en place d’un « isolement obligatoire » pour les voyageurs en provenance du Royaume-Uni où circule notamment le variant indien du coronavirus. Cette quarantaine obligatoire contraindra les voyageurs britanniques à se placer dix jours en isolement. Ils devront déclarer leur lieu de quarantaine en France à l’aide d’un justificatif. En cas de non-respect de cette quarantaine, une amende de 1 000 euros est prévue. En cas de récidive, elle est portée à 1 500 euros. De plus, les voyageurs en provenance de ce territoire doivent présenter un test PCR négatif de moins de 36 heures pour entrer en France et réaliser un test antigénique à l’arrivée.
L’Autriche a également revue ses exigences vis-à-vis des voyageurs britanniques, tandis que la FIA a récemment annoncé l’organisation de deux Grands Prix dans le pays du taureau rouge, afin de compenser l’annulation du Grand Prix de Turquie.
Les mesures prises par l’Autriche vis-à-vis des voyageurs britanniques :
Ces derniers devront présenter un test PCR négatif datant de moins de 72 heures et se placer en isolement pour une quarantaine de dix jours avec la possibilité de faire un test après cinq jours pour mettre fin plus tôt à la quarantaine.
Des mesures similaires à la France remettant en doute l’organisation de ces trois Grands Prix, à savoir : Grand Prix de France (18-20 juin), Grand Prix de Styrie (25-27 juin) et le Grand Prix d’Autriche (2-4 juillet). Désormais, attendons de voir la réaction de la FIA à ce sujet afin de connaître les véritables conséquences de ses nouvelles mesures.