Romain Grosjean "proche de la Q3" mais pas mécontent de la performance de la Haas
Les pilotes de l'écurie américaine ont signé une performance satisfaisante en qualifications après des essais plutôt décevant mais Romain Grosjean se sentait capable de mieux. Malgré tout il garde le sourire et comme son coéquipier il voit la possibilité de marquer des points en course demain.
La monoplace américaine a pour ainsi dire pris vie en qualifications après des essais plutôt décevant. L’équipe a pu combler le retard qu’elle avait relevé, d’abord à l’issue de la première journée puis après la dernière séance d’essais de ce matin. Le résultat des qualifications n’est pas celui qui était attendu mais le Français et le Danois sont satisfaits.
Classé 12ème en Q2 Romain Grosjean échoue à 146 millièmes de la Q3 mais garde un état d’esprit positif « On est très proche de la Q3 donc ça montre que ce n’est jamais inaccessible. C’était très serré, j’ai perdu un peu de temps dans le dernier virage. On n’est pas si mal là où on est on aura un train de pneus neufs demain et c’est pas plus mal. Ca va être une longue course demain et beaucoup de choses peuvent arriver. Personne n’a de réelle information sur la dégradation des pneus et des quelques tours que j’ai fait hier avec beaucoup d’essence, la voiture était correcte. J’ai hâte d’y être. »
Classé 13ème en Q2 Kévin Magnussen permet à Haas de réaliser un tir groupé pour la grille de départ « La qualification était correcte. Dans le dernier run je n’ai pas pu avoir tous les bons secteurs ce qui est décevant. Je ne pense pas que ça aurait changé grand chose mais ce n’est jamais bon quand vous n’arrivez pas à tout mettre bout à bout. A la fin l’écart était trop important et seul Romain était capable de faire quelque chose. Ce n’est pas une mauvaise position pour se battre pour les points demain et on devrait en être capable. »
So that’s #Quali over for us. At the #Q2 🏁 @RGrosjean P12, @KevinMagnussen P13. Now we focus on the race! #BelgianGP #HaasF1 🏎🇺🇸
— Haas F1 Team (@HaasF1Team) 26 août 2017
De notre envoyé spécial à Spa-Francorchamps