Trulli: « Gagner est vital pour maintenir Toyota en F1 »
Jarno Trulli, pilote chez Toyota a affirmé qu’une première victoire cette saison sera un élément essentiel pour le constructeur japonais si ce dernier souhaite rester en Formule 1 à plus long terme. Le plus grand constructeur automobile a insisté à plusieurs reprises sur le fait qu’il n’a pas l’intention de quitter le sport en dépit […]
Jarno Trulli, pilote chez Toyota a affirmé qu’une première victoire cette saison sera un élément essentiel pour le constructeur japonais si ce dernier souhaite rester en Formule 1 à plus long terme.
Le plus grand constructeur automobile a insisté à plusieurs reprises sur le fait qu’il n’a pas l’intention de quitter le sport en dépit de la crise économique actuelle, qui a déjà contraint Honda à se retirer des grilles de départ F1.
« Le message de Toyota a été très clair: Nous continuons en F1, mais nous devons ramener une victoire qui pourrait être décisive pour l’avenir, » a déclaré Trulli pour le quotidien italien la Gazzetta dello Sport.
Toyota, qui dévoile sa nouvelle monoplace en ce moment même a rejoint la catégorie reine des sports automobiles en 2002. En sept saisons, l’écurie a remporté huit podiums mais aucune victoire.
« Le circuit n’a pas d’importance, ce qui compte c’est de bien figurer dans les six premières courses, » a-t-il ajouté.
L’italien a également reconnu qu’il ne savait pas très bien où en était son équipe sur le développement du KERS.
« Je ne sais pas grand-chose sur le KERS: Je pense que c’est un projet interne, dont nous les pilotes ne sommes pas informés. La récupération de l’énergie soulève de nombreuses questions. Ce système pourrait être une arme à double tranchant. »
« Nul ne sait ce que vous pouvez obtenir et ce que vous pouvez perdre avec ce système. Tout d’abord, la fiabilité devra être vérifiée avant de pouvoir être évalué. »
« Malgré toutes les réductions de coûts, ils ont trouvé une solution, le KERS, qui pour moi a d’énormes coûts de développement. Cela apparaît comme une grande contradiction, mais c’est juste mon point de vue, » a conclu Jarno Trulli.