GP de Hongrie – « Un circuit adapté à nos Williams »

Williams arrive en Hongrie confiante et joyeuse. L’équipe retrouve un circuit quelle apprécie et qui a montré depuis 1986 des courses toujours impressionnantes.

L’équipe aura bien évidemment un package aérodynamique spécifique au Hungaroring, mais compte notamment sur deux autres points pour réaliser une bonne performance : une bonne stratégie, et une bonne qualification.

Nico Rosberg et Kazuki Nakajima, les deux pilotes de l’équipe anglaise, se feront une joie d’atteindre les objectifs fixés par l’équipe.

Nico Rosberg – Pilote de course :
« Le circuit de Hongrie rappel beaucoup celui de Monaco. Il nécessite beaucoup d’appui, et ces setups nous réussissent mieux que ceux utilisés lors des récentes courses. Nous espérons donc être meilleurs et faires de bons résultats. »

« L’an dernier, nous nous sommes bien qualifiés et nous avons signés une belle course. Nous nous attendons donc à un bon week-end cette saison aussi. Je pense qu’il faudra faire attention à la chaleur. Il fera très chaud ce week-end, mais je ne pense pas que se sera un problème pour moi. Je suis donc optimiste. » Conclut le pilote allemand.

Kazuki Nakajima – Pilote de course :
« Je n’ai jamais piloté une Formule 1 au Hungaroring, mais j’ai couru avec d’autres monoplaces, dont les GP2 l’an dernier avec à la clef un bon résultat ! »

« Le circuit devrait convenir à notre monoplace et nous avons accompli beaucoup de progrès à Jerez la semaine dernière sur le setup de cette épreuve. Nous sommes donc bien préparés. J’espère également pouvoir visiter Budapest cette année pour me détendre avant le grand prix. »

Sam Michael – Directeur technique :
« Le Hungaroring est un circuit très exigeant en terme d’appui aérodynamique. La voiture est donc toujours à la limite de l’adhérence possible. Il faut donc que le pilote soient concentrés en permanence pour éviter les erreurs dans les nombreux virages du tracé. »

« Au niveau des pneus, nous disposerons des tendres et maxi-tendre. Ce qui veut dire que nous pouvons avoir jusqu’à trois arrêts ravitaillement en course. De toute évidence, un tel circuit demande une bonne performance en qualification et un bon départ car il sera extrêmement difficile de dépasser. On a en effet pu voir par le passé que toutes les stratégies se valaient en terme de résultat à l’arrivé. »