GP Turquie – Piquet vise de nouveau Q3
Il est vrai que Nelson Piquet aurait pu rêver mieux comme début de saison mais il ne faut pas oublier que le brésilien vit sa première année en Formule 1. Et pour cause, de nombreux abandons sont à mettre à son actif mais les erreurs sont inévitables lorsque l’on débute. Avec une équipe Renault revigorée, […]
Il est vrai que Nelson Piquet aurait pu rêver mieux comme début de saison mais il ne faut pas oublier que le brésilien vit sa première année en Formule 1. Et pour cause, de nombreux abandons sont à mettre à son actif mais les erreurs sont inévitables lorsque l’on débute.
Avec une équipe Renault revigorée, un circuit qu’il connait bien pour avoir brillé dans la catégorie GP2, Piquet n’a qu’une hâte montrer qu’il mérite sa place et que les erreurs sont toujours formatrices…
Un peu déçu sans doute après le Grand Prix d’Espagne…
« Oui, c’est toujours décevant d’abandonner en course, surtout suite à un accrochage. La voiture était performante, nous avions pour objectif d’entrer dans les points et je pense que cela était possible. Mais il ne faut pas ressasser, il faut continuer d’avancer. Je continue d’ailleurs d’apprendre. Je tâcherai maintenant de mettre à profit tout cela pour notre course à Istanbul et ne pas répéter mes erreurs. »
Vous connaissez le circuit d’Istanbul Park et y avez de bons souvenirs…
« J’ai gagné en GP2 en Turquie ainsi que décroché la pole position et le meilleur tour. C’est donc effectivement un circuit que je connais et où je garde de bons souvenirs. Ce sera sans doute plus facile pour moi d’attaquer mon week-end de travail et pour mettre au point ma monoplace. »
Pensez-vous que ce fameux virage numéro 8 sera beaucoup plus impressionnant au volant d’une monoplace de Formule 1 ?
« Le virage numéro 8 est sans doute un des virages les plus intéressants du calendrier. Il est extrêmement rapide et le pilote est soumis à rude épreuve. Je ne suis pas persuadé qu’il sera plus difficile à aborder au volant d’une F1, au contraire peut être même car les capacités des voitures sont toutes autres en termes de grip aérodynamique notamment. Mais je suis impatient de voir cela depuis mon cockpit pour être très honnête ! »
L’équipe semblait avoir bien progressé ce week-end. Quels seront vos objectifs en Turquie ?
« Nous avons bien progressé mais il reste encore beaucoup à faire. Toute l’équipe en a bien conscience. J’espère ce week-end poursuivre mon apprentissage. Entrer en Q3 sera mon premier objectif. Il faudra pour cela bien travailler avec mes ingénieurs dès les premiers roulages de vendredi pour mettre au point ma monoplace et trouver mes repères afin de pouvoir aborder ce Grand Prix sereinement. »
D’après un communiqué Renault F1