Giancarlo Fisichella : « Fernando Alonso était mon coéquipier le plus fort »

L'ancien pilote de F1 a récemment évoqué son ancien coéquipier Fernando Alonso dans le podcast Beyond The Grid. Il rappelle pourquoi l'Espagnol est le coéquipier le plus fort qu'il ait eu dans sa carrière.

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Giancarlo Fisichella : « Fernando Alonso était mon coéquipier le plus fort »

Giancarlo Fisichella a côtoyé de grands noms en Formule 1, mais Fernando Alonso restera celui qui l’a le plus marqué. À ses côtés en 2005 et 2006 chez Renault lorsque l’Espagnol a tout gagné, il se souvient de l’ogre qu’il était. Avec la performance qu’Alonso réalise cette année, à 41 ans, l’Italien est revenu sur les points forts de son ancien coéquipier.

En piste, Alonso était parfait

En 2006, il fallait être parfait pour Alonso, affrontant Michael Schumacher dans une Ferrari à nouveau compétitive. Fisichella le rappelle : « Fernando était très bon dans toutes les circonstances : faible adhérence, forte adhérence, et surtout en course, il était très, très cohérent et concentré. Il n’a pas fait beaucoup d’erreurs et a bien communiqué avec l’équipe, avec la radio », a expliqué l’Italien. Des qualités qui n’ont absolument pas changées et qui se sont même améliorés.

Un politicien en dehors de la piste

Fisichella a également mis en valeur, dans ce podcast, tout le talent de Fernando Alonso en matière de politique et de communication. « Il était aussi politique, mais cela fait partie du travail. Fernando était donc un coéquipier très fort », a-t-il dit.

Puis, il avait un poids énorme au sein de Renault à cette époque. Comme l’explique Fisichella. « Dans l’équipe, il était très fort. Flavio Briatore était son manager. Le principal sponsor était Telefonica, un sponsor espagnol. Il était donc très fort au sein de l’équipe. » Les deux hommes continuent d’ailleurs à d’entretenir une forte relation : ces deux-là ont été aperçus ensemble à de nombreuses reprises et c’est également le manager italien qui a poussé Alonso vers Aston Martin.

D’ailleurs, Fisichella ne pense pas que Renault ait avantagé Alonso au championnat, l’Italien était conscient du talent de l’Espagnol. Il l’a donc aidé comme il a pu à atteindre ses objectifs. « Je pense qu’une fois que vous avez perdu la possibilité de vous battre pour le championnat, vous devez travailler pour l’équipe, pour votre coéquipier », a-t-il déclaré.

Au-delà de la difficulté d’être aux côtés de Fernando Alonso, Giancarlo Fisichella retient la chance qu’il a eu de pouvoir côtoyer l’espagnol : « Fernando était mon meilleur coéquipier. »

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