Perez frustré que son équipe ne lui dise pas de signer le meilleur tour en fin de course
Max Verstappen n'a plus qu'un seul point d'avance au championnat sur son coéquipier, Sergio Perez. Ce dernier, souhaite que l'équipe revoie les communications des deux pilotes, reçues lors des derniers tours du Grand Prix d'Arabie Saoudite.
Vainqueur du Grand Prix d’Arabie Saoudite, Sergio Perez, partis en pole, à terminé la course cinq secondes devant son coéquipier, Max Verstappen, qui s’était élancé depuis la 15e place sur la grille.
La remontée du Néerlandais, a été appuyé par un arrêt au stand « gratuit » pendant la safety car, suite à l’abandon de Lance Stroll. Quelques tours après la relance, le champion du monde en titre est venu prendre la seconde position qui était détenue par Fernando Alonso.
En tête à la moitié de l’épreuve, les deux pilotes Red Bull se sont alors attelés à s’échanger les meilleurs tours en course. Le point du tour le plus rapide étant le seul différenciateur entre eux, après les deux premières courses du championnat.
Perez ne comprend pas
Au final, c’est Verstappen, élu pilote du jour, qui a signé le meilleur temps sur la ligne d’arrivée. À sa descente de voiture, le Mexicain a indiqué avoir le sentiment que les informations, qui lui avait été transmis, n’étaient pas les mêmes que pour son coéquipier.
« À quelques tours de la fin, j’ai demandé quel était le tour le plus rapide », a déclaré le Mexicain.
« Ils m’ont dit que j’avais le tour le plus rapide et qu’il fallait garder un certain rythme. »
« Je pensais que la communication était la même pour Max, je pense que nous devons revoir les différentes informations et je n’ai tout simplement pas pu pousser à la fin. »
« Il est évident qu’ils disposent de plus d’informations que nous et je pense que l’équipe a fait un travail fantastique en nous laissant courir. »
Verstappen ne voit pas les choses différemment
Après avoir pris le point du tour le plus rapide, Verstappen affirme que selon lui, c’était une question standard à poser.
« A quelques tours de l’arrivée, j’ai demandé quel était le tour le plus rapide », a-t-il expliqué.
« Tout d’abord, nous étions libres de courir et bien sûr, nous avions un temps au tour cible jusqu’à la fin. Mais il y a un point sur la ligne. C’était pareil aussi à Bahreïn, on m’a demandé, surtout quand c’est juste entre les deux voitures, je pense que c’est tout à fait normal qu’on demande quel est le tour le plus rapide. »
