Hamilton se plaint de ses confrères…
Lewis Hamilton estime que la plus grosse difficulté sur le circuit de Valencia n’est pas d’apprendre à connaître la piste mais de gérer la proximité avec les autres pilotes. Le britannique a terminé, par exemple, à la cinquième place les essais libres 2 et bien qu’il apprécie ce circuit, il n’ait pas très satisfait du […]
Lewis Hamilton estime que la plus grosse difficulté sur le circuit de Valencia n’est pas d’apprendre à connaître la piste mais de gérer la proximité avec les autres pilotes.
Le britannique a terminé, par exemple, à la cinquième place les essais libres 2 et bien qu’il apprécie ce circuit, il n’ait pas très satisfait du fait que certains pilotes ralentissent délibérément.
« Il est très important de laisser un écart si vous voulez effectuer un tour sans encombre. Certains virages peuvent se révéler dangereux, » a déclaré Hamilton.
Excepté ce point, Hamilton est très heureux, pour le moment, du déroulement du week-end.
« Je me sens bien, » a-t-il affirmé.
« Nous avons réalisé une bonne journée hier, mis à part un manque d’adhérence. Je pense que nous avons commencé du bon pied. Nous avons progressivement augmenté notre rythme et avons accompli notre programme d’essais. »
Le leader du championnat du monde n’a formulé aucune plainte quant à la conception du circuit, qui a attiré les éloges de nombreux pilotes.
« Les deux longues lignes droites permettent le refroidissement de vos pneus. C’est tout de même un circuit difficile. »
« Au fur et à mesure des sessions d’essais, j’ai pris les choses étape par étape, en essayant d’améliorer l’équilibre de la voiture. Il faut juste trouver toutes les pièces et assembler le puzzle. »